L’enquête conduite auprès des étudiant·es
Le projet Numérique, climat et information est une initiative pluridisciplinaire qui se consacre à l'étude approfondie de la désinformation climatique parmi les jeunes.
À travers une combinaison d'approches méthodologiques quantitatives et qualitatives, nous explorons les mécanismes et les motivations sous-jacents à la diffusion de fausses informations.
Grâce à des questionnaires, des entretiens et des observations, nous recueillons des données précieuses qui nous permettent de mieux comprendre ce phénomène complexe.
Pour avoir un aperçu détaillé des échelles de mesure utilisées dans le cadre du projet, rendez-vous sur la page Ressources.
Les questionnaires en ligne permettent de facilement quantifier un phénomène ou mesurer des comportements ou des attitudes.
(Photo : Monstera)
L’entrevue est une stratégie de collecte de données couramment utilisée pour comprendre le comportement des individus et leurs intentions.
(Photo : pressfoto sur Freepik)Année 2023-2024
Développer des formations appuyées par la recherche à destination des étudiant·es du Québec et du Nouveau-Brunswick
Section en construction
Hiver-printemps 2023 : le 1er volet de la recherche
Brosser le portrait de la désinformation chez les étudiant·es des provinces de l’Atlantique
Ce volet s’inscrivait dans une recherche avec une méthode de recherche mixte, selon un design séquentiel explicatif.
Concrètement, une première phase, quantitative, s’est tenue durant l’hiver 2023. Une seconde phase, qualitative, s’est quant à elle déroulée au printemps 2023.
La phase quantitative : un sondage en ligne
Les étudiant·es inscrit·es dans un établissement postsecondaire (collège, université, centre de formation professionnelle, etc.) des provinces de l’Atlantique ont été invité·es à remplir un sondage en ligne d’environ 30 minutes.
La phase qualitative : les entrevues
Une série d’entrevues a été organisée. Elles portaient sur l’écosystème médiatique, la confiance des participant·es dans les médias et les nouveaux médias, et ce en dialogue avec leur consommation d’information, leur façon de gérer la désinformation, les infox, les points de vue contradictoires et les dissonances cognitives.